KIKI ROCKWELL !

Née à San Francisco, ayant grandi en Allemagne et en Nouvelle-Zélande, Kiki Rockwell puise son inspiration dans les contes sombres, la mythologie et les histoires des héroïnes oubliées de l’Histoire.
Elle écrit et produit toutes ses œuvres, mêlant cordes éthérées, synthés électroniques sombres, percussions rituelles et une technique vocale en couches quasi monastique.

Kiki n’hésite pas à fusionner les genres pour créer un son qui lui est entièrement propre.
Son public fidèle s’est rapidement élargi, notamment grâce à ses clips musicaux cinématographiques aux thèmes fantastiques et à sa forte présence sur les réseaux sociaux.

Mais ce sont ses paroles qui tranchent comme une épée. Kiki se considère avant tout comme une conteuse, tissant avec ses mots une tapisserie d’amour queer, de sorcières, de sirènes, de kelpies et de créatures féeriques.
Bien que ses récits soient d’une nature éthérée, ils s’enracinent dans des sujets bien réels, principalement les luttes des femmes modernes et l’histoire qui ne cesse de se répéter.

CLEOPATRICK !

Après avoir dévoilé leur second album “FAKE MOON”, le duo post-rock cleopatrick annonce leur grand retour parisien avec un concert à La Machine du Moulin Rouge le 6 novembre 2025.

Depuis leurs débuts, cleopatrick ont prouvé qu’ils étaient l’un des groupes de rock émergents les plus convoités. Ils ont accumulé plus de 100 millions de streams tout en effectuant plusieurs tournées à guichets fermés, en se produisant dans des festivals tels que Lollapalooza et Reading & Leeds, et en assurant la première partie de Royal Blood et de Frank Carter & The Rattlesnakes. Avec leur premier album « BUMMER », cleopatrick ont rassemblé toute la magie qu’ils ont brassée au cours de leurs deux décennies d’amitié et de la canaliser dans un disque qui vise à revigorer le paysage rock de fond en comble.

Embarquant aujourd’hui dans un voyage post-rock avec du hip-hop et du folk lo-fi, avec leur second album « FAKE MOON ». Comme si la gravité les tirait vers une zone expérimentale, « FAKE MOON » bouleverse le temps, les influences et leur sonorité. Transportant l’auditeur aux confins d’un lieu inattendu, c’est ici que Luke Gruntz (chant, guitare, production) et Ian Fraser (batterie, production) se débarrassent audacieusement des crochets abrasifs de leur voyage jusqu’à présent, pour une fusion contemplative qui reflètent, réinitialisent et rééquilibrent en un petit pas pour le post-rock et un grand pas pour l’humanité. « C’est plus qu’un simple changement sonore », révèle Luke. « L’album peint instinctivement une image de quelque chose de significatif ; toutes les chansons posent des questions ou s’abandonnent à l’incertitude. »