Enfant terrible qui refuse les codes du jazz, daoud imagine une musique portée par un sentiment d’inadéquation, qui bousculent les cadres sans chercher à plaire et touchent autant les novices curieux que les puristes.

L’ensemble est traversé par une même tension: entre le jeu et la gravité, le chaos et la douceur, l’ironie et la sincérité. Avec ok, son nouvel album à paraître chez ACT en 2025, il signe un manifeste personnel teinté par la chute et la répétition – mais aussi par l’abnégation qu’il faut pour recommencer encore. 

Tout autour de la musique, l’artiste construit un univers visuel brut, marqué tant par la provocation que le lâcher-prise juvénile, un retour à l’enfance non pour se rassurer, mais pour déterrer les contradictions. Fragilité, impermanence, satire – l’esthétique assume la faille plutôt que de la cacher.

Sur scène, daoud et son groupe se jouent des règles , entre lyrisme contenu et déflagration. Depuis la sortie de GOOD BOY en 2024, salué par la critique, ils enchaînent les concerts à guichets fermés et les passages remarqués, de Ronnie Scott’s à Londres au Montreux Jazz Festival, en passant par Marciac. En parallèle, daoud compose et produit pour d’autres, sans jamais lâcher le fil d’une démarche personnelle de plus en plus libre et sans concessions.

Line up :

daoud: trompette

Thomas Perier: claviers

Louis Navarro: contrebasse

Quentin Braine: batterie

CONTREFAÇON

Ils sont 4. Ils sont CONTREFAÇON : Mike Doe, MandelBoy, Junk8, Pierre. Quatre parisiens touche-à-tout et amis d’enfance qui décident en 2016 de concentrer leurs efforts autour d’un projet commun. Contrefaçon est un groupe de musique-video qui s’exprime via des clips originaux, objet de la rencontre entre le son et l’image.

Défini comme un concept qui se veut à contre-courant, au moyen d’un authentique spectacle musical où chaque morceau sera retravaillé et rejoué en live, Contrefaçon a pour ambition d’amener sur scène l’univers développé au sein de ses vidéos.

Après quatres EP, un album, vingt-deux clips et un court-métrage, ils s’installent définitivement sur la scène électronique française comme un groupe aux visuels percutants qui joue avec les codes et stimule l’imaginaire. Leur second album ALMA est sorti le 17 janvier 2025.

Ce nouvel opus mêlant electronica, breakbeat, pop et acid plonge les spectateurs dans un futur proche où la musique humaine est interdite, jugée trop sensible pour maintenir une dynamique d’État stable, et est remplacée par une musique générée par intelligence artificielle. Le respect de l’ordre est assuré par l’ALMA (Autorité de Legislation de la Musique Artificielle), nouvellement créée pour démanteler les lieux de création musicale clandestins.

Retrouvez Diddi Trix en concert le 27 juin 2025 à la Machine du Moulin Rouge ! » 

« Diddi Trix est un rappeur originaire de Bondy Nord, plus précisément du Radar, situé dans le 93. Après avoir fait ses débuts au sein du groupe Batara Gang, il décide de se lancer en solo à partir de 2017. Depuis, il se développe avec son équipe au sein de son label indépendant, Dope Boyz.

Diddi Trix s’est rapidement imposé comme une figure incontournable du rap français grâce à un style unique et captivant. Ce jeune talent a su attirer l’attention avec ses freestyles percutants, qui témoignent de sa capacité à naviguer habilement entre les différents genres du rap. Inspiré par la trap d’Atlanta, le rap de New York et les sonorités vibrantes de Los Angeles, Diddi Trix a développé un son distinctif et propre à lui-même. 

Depuis ses débuts en solo, Diddi Trix a enchaîné les succès avec des singles tels que «Chien de la casse», «La Puenta», «Pétou» et plus récemment «Fondu». Ces titres ont non seulement été acclamés par ses fans, mais ont également reçu une reconnaissance critique, notamment avec l’obtention d’un single d’or. Sa quête d’authenticité et son engagement envers l’innovation musicale lui ont permis de se forger une place distinctive dans le paysage du rap actuel.

Avec une influence grandissante sur la scène rap française, Diddi Trix est définitivement dans les artistes à suivre de près dans les années à venir. Sa voix singulière et son approche authentique du rap continuent de résonner avec un public toujours plus large, faisant de lui une étoile montante du rap français

ASTONVILLA, LOVE CONNECTION TOUR !

Nouvel épisode à l’automne !

Cette année, Astonvilla fête les 30 ans de son tout premier album. Pour marquer le coup, ils ont imaginé des concerts exceptionnels entre rétrospectives et Superspectives. Ils sont leur façon de dire merci au public qui les suit. Merci pour l’accueil, la fidélité, pour cette connexion depuis le tout début — et encore plus ces derniers temps.

Après ça ? Ils reprendront leur course dans l’espace. Ils reviendront quand le cosmos le décidera.

Astonlavista,

Fred, Greg & Tony Astonvilla

🎫 Réduction sur les billets pour ceux nés en 96 et – de 25 ans (sur présentation d’un justificatif). 📸 Yann Orhan

EKKSTACY !

Fort de la sortie de son nouvel album “FOREVER”, EKKSTACY annonce sa plus grande tournée à ce jour avec un nouveau passage parisien le 19 novembre 2025 à La Machine du Moulin Rouge.

La maturité est l’un de ces termes que l’on utilise lorsqu’un jeune artiste innove, mais il y a un réel sentiment d’ascension sur le prochain album de EKKSTACY, « FOREVER », prévu pour le 16 mai. Contrairement à son dernier album, il n’y a pas de featuring, pas de superflu. C’est simplement EKKSTACY en pleine possession de ses moyens, réunissant tous les aspects qui ont fait de lui un talent si captivant. On le retrouve imperturbable, heureux et concentré. « Je veux juste dire que c’est le meilleur album que je n’ai jamais fait, et que je me sens plus à l’aise avec cet album que je ne l’ai jamais été. », a-t-il déclaré. Alors que ses premiers projets s’inspiraient d’artistes tels que The Drums, Lil Peep, Current Joys et les Smiths – insufflant un son post-punk à la fois moderne et lugubre. Il s’aventure sur un nouveau territoire avec honnêteté, moins détaché mais toujours aussi bruyant et marqué de pop punk. Modestie mise à part, les mélodies qui en résultent sont cohérentes et inébranlables – le son d’un artiste qui entre dans son âge d’or.

Après le succès de son album éponyme de 2024, EKKSTACY a pris la décision inhabituelle de rentrer chez lui à 23 ans, dans le calme détaché de Vancouver. Il y écrit son prochain album “Forever”, plus ou moins sobre et amoureux. Alors que ses premiers projets s’inspiraient d’artistes tels que The Drums, Lil Peep, Current Joys et les Smiths – insufflant un son post-punk à la fois moderne et lugubre – son quatrième album présente Ekkstacy sous un nouveau jour, plus clair et plus concentré. « J’ai écrit la plupart de ces chansons chez moi, dans un état de sobriété absolue », explique Stacy. « Je ne veux plus écrire sur mes ex-copines. Je ne veux plus parler des Bellas. ». Il s’aventure dans un territoire avec honnêteté, moins détaché mais toujours plus bruyant de pop punk. « J’ai arrêté d’aimer les trucs indie que j’écoutais et je me suis mis à l’emo », dit-il, citant des groupes comme Japandroids et Remo Drive.